Bibliographie2

  • J’ai lu:

Décidément, tu ne me comprends pas ! Deborah Tannen
Pour les hommes et les femmes, les mots n’ont pas le même usage. Deborah Tannen analyse les manières de s’exprimer et de communiquer des hommes et des femmes : des styles différents de conversation, débouchent souvent sur le malentendu, la critique, le reproche et la blessure. Ce livre tente de mettre fin à la « guerre des sexes » et nous propose de comprendre nos différences, pour trouver un langage commun et nouer avec les êtres que nous aimons, un lien plus profond.

Vaincre la dépendance Pia Mellody
Vous voulez plaire à tout le monde ? Vous vous sentez incapable de dire non ? Vous êtes sujets à des réactions excessives, honte, colère ou angoisse ? Vous ne vivez que des passions douloureuses ? Tels sont les signes de la dépendance. Vaincre la dépendance, c’est vivre mieux.

  • Le Souffle d’Or:

La maturité dans les relations humaines Bert Hellinger
Cet ouvrage met en lumière les processus de culpabilité inconsciente pour montrer comment il est possible de devenir adulte sans prendre su soi les problèmes des autres.

S’épanouir dans des relations non-dépendantes Anne Wilson-Schaef
On parle beaucoup des dépendances chimiques (alcool, tabac, drogues etc…), mais parle-t-on des dépendances qui concernent une émotion, une situation, un comportement, un type de relation ? Cet ouvrage explore ces dépendances qui minent la sphère de nos relations.

  • Stock :

Parents toxiques Susan Forward
Ce livre aborde un sujet encore tabou en France : la vie problématique des adultes qui, dans leur enfance et leur adolescence, ont eu des parents néfastes au développement de leur personnalité. Ces parents « toxiques » n’ont pas eu que des difficultés occasionnelles avec leurs enfants ; parfois, ils ont été alcooliques, coupables de sévices physiques ou d’abus sexuels ; mais plus souvent ils ont été démissionnaires, dominateurs, critiques, méprisants, manipulateurs. Ces attitudes, ces paroles, parce qu’elles agissent de façon répétitive et insidieuse ont causé des dommages émotionnels qui, comme des toxines, se sont répandus dans tout l’être de l’enfant.

Des jeux et des hommes Eric Berne
Les hommes ont tendance à vivre en jouant avec logique à certains « jeux » dans leurs relations avec autrui. Ils jouent à ces jeux pour toutes sortes de raisons : pour éviter d’affronter la réalité, pour cacher des motifs profonds, pour rationaliser leurs activités… Ces jeux, sauf quand ils se révèlent destructeurs, sont à la fois souhaitables et nécessaires. Ce livre traite de façon concise, claire et spirituelle un sujet profondément sérieux qui concerne chacun de nous de la façon la plus intime.

  • Payot:


Si les hommes pouvaient parler
Alon Gratch
Les femmes se plaignent des hommes qui ne parlent pas, n’écoutent pas et ne comprennent rien ? Alon Gratch propose ici d’améliorer la communication entre les hommes et les femmes grâce à sept clés qui permettent de décoder les comportements masculins : la honte, le vide émotionnel, le sentiment d’insécurité, la préoccupation de soi, l’agressivité, l’autodestruction, l’expression sexuelle.

Pourquoi on en veut aux gens qui nous font du bien Gabrielle Rubin
Qu’il soit matériel (un cadeau) ou psychique (l’amour d’une mère pour son enfant), tout don crée une dette qui doit être apurée. Quand elle ne l’est pas, les ennuis commencent. Le plus à plaindre, alors, n’est pas forcément celui qu’on croit…

Parents immatures et enfants-adultes
Gisèle Harrus-Révidi
Ils se trouvent parfaitement adultes. Ils ont l’air sympathiques, sont adaptés socialement, nourrissent leurs petits, les lavent, les envoient à l’école. Ils sont pourtant en proie à une véritable pathologie de notre époque : l’immaturité affective.

Eloge de l’intimité
Willy Pasini
Dépasser la peur de se dévoiler, de se perdre, pour découvrir le plaisir d’être proche de l’autre. L’intimité vue comme un art difficile qui se construit avec le temps.

  • PUF :

Petit traité des grandes vertus André Comte-Sponville
Il n’y a pas de Bien en soi : le bien n’existe pas, il est à faire et c’est ce qu’on appelle les vertus. Les vertus sont nos valeurs morales, mais incarnées, autant que nous le pouvons, mais vécues, mais en acte. Il ne s’agit pas de donner des leçons de morale, mais d’aider chacun à devenir son propre maître, comme il convient et son unique juge. Dans quel but ? Pour être plus humain, plus fort, plus doux.

Penser le Corps Maria Michela Marzano Parisoli
Manipulé et recréé selon les règles du marché, notre corps est devenu un objet de consommation parmi d’autres. Pour l’auteur, le corps est devenu la nouvelle valeur à l’aune de laquelle nous jugeons et sommes jugés.
Devant la tendance actuelle qui tend à chosifier la réalité humaine, cet ouvrage introduit un débat philosophique sur la dimension éthique du corps.

  • Flammarion :

Notre corps ne ment jamais Alice Miller
Notre corps, on le sait aujourd’hui, garde en mémoire notre histoire, les traumatismes de notre enfance. Quand nous tombons malades, c’est que nous sommes traversés par un conflit intérieur entre ce que nous ressentons et ce que nous voudrions ressentir. D’un côté, il y a notre corps, qui garde intacte la mémoire de notre histoire ; de l’autre, il y a notre esprit et notre volonté conditionnés par la morale et l’éducation traditionnelles à aimer et honorer nos parents. En analysant l’histoire de plusieurs écrivains, de dictateurs et de victimes, Alice Miller, la grande spécialiste allemande de la maltraitance et de ses effets, nous invite à revisiter l’évolution de nos rapports avec nos parents. Elle explique comment, grâce à l’aide d’un témoin lucide, il est possible de se libérer en grande partie de l’éprouvante camisole du camisole du manque et de la dépendance affective.
Au terme d’un chemin exigeant par lequel nous acceptons de relire l’histoire de nos rapports avec nos parents, il y a l’espoir de naître à une authentique liberté intérieure.

Savoir dire Non Marie Haddou
En s’appuyant sur des exemples authentiques tirés de la vie quotidienne (au travail, en famille, avec les amis, en amour…), Marie Haddou explique quelles peurs nous piègent à notre insu et propose plusieurs méthodes pour changer et s’affirmer en toute sérénité, sans culpabilité, dans les situations difficiles.

Chemins de vie
Alice Miller
Comment nos premières expériences de souffrance et d’amour influent-elles sur notre vie ultérieure et nos relations avec les autres ? Dès notre plus jeune âge, constate Alice Miller, elles impriment en nous des modèles de comportement que, sans nous en rendre compte, nous reproduisons. Pour le meilleur comme pour le pire. Mais ce n’est pas une fatalité. Aussi profondément marqués que nous soyons par notre éducation, nous pouvons, parvenus à l’âge adulte, déceler ces empreintes et sortir de l’impasse. Les histoires qu’on lira ici relatent quelques-uns de ces itinéraires. Les conséquences de la maltraitance des enfants sur la vie de l’adulte ont été peu étudiées jusqu’ici. Pourtant, c’est par cette prise de conscience seulement que nous pourrons briser le cercle infernal de la violence, dans la famille et dans la société.

  • Librio :

Le bonheur désespérément André Comte-Sponville
« Qu’est-ce que je serais heureux si j’étais heureux ! »
Cette formule de Woody Allen dit peut-être l’essnetiel : que nous sommes séparés du bonheur par l’espérance même qui le poursuit. La sagesse serait au contraire de vivre pour de bon, au lieu d’espérer vivre.

  • Folio essais :

Tout est langage Françoise Dolto
J’espère faire comprendre le rôle du « parler vrai », le vrai tel que ces adultes le communiquent à des enfants qui, non seulement le désirent inconsciemment, mais ont besoin de la vérité et y ont droit, même si leur désir conscient lorsqu’ils s’expriment en paroles, à l’invitation des adultes, préfère le silence trompeur qui génère l’angoisse, à la vérité, souvent douloureuse à entendre mais qui, si elle est parlée et dite de part et d’autre, permet au sujet de s’en construire et de s’en humaniser.

Les étapes majeures de l’enfance
Françoise Dolto
Les étapes majeures sont, dans la trajectoire de l’enfant, ces moments de passage intenses mais critiques qu’il doit traverser pour arriver à l’adolescence puis à l’âge adulte.
Le petit d’homme est être de langage. L’éduquer, c’est le rendre autonome, « lui donner les règles, les repères, les interdits majeurs qui lui assureront cette sécurité existentielle qui seule peut soutenir son dynamisme et les forces vives de son désir.

  • Seuil :


Comment survivre à sa propre famille
Mony Elkaïm
Qui ne s’est pas senti piégé, à un moment ou à un autre, à l’intérieur de sa propre famille ? Qui n’a pas eu l’impression d’être écrasé par une réalité sur laquelle il n’avait pas prise ? Cet ouvrage éclaire d’une lumière nouvelle ces situations, que nous connaissons tous. Ce n’est pas la réalité en tant que telle qui nous piège, mais une représentation de cette réalité, qui s’est construite au cours des années et des évènements. Chacun joue son rôle à lui dans ce scénario familial : si je parviens à modifier mon propre rôle, peut-être pourrais-je changer l’ensemble de la pièce… Mais comment parvenir à ce changement ?

  • L’iconoclaste :


De l’art du bonheur
Christophe André
Dans ce livre, nous allons réfléchir et méditer ensemble à partir de vingt-cinq tableaux ; vingt-cinq imagent qui incarnent les visages, les formes et les gestes du bonheur, vingt-cinq leçons qui proposent d’avancer sur le chemin d’une vie plus heureuse.Car le bonheur peut s’apprendre.